Virgo-Maria.org

Qui et Pourquoi, depuis la mort de Mgr Lefebvre en 1991, a détourné la finalité surnaturelle de l’OPERATION-SURVIE des sacres de 1988, pour assigner à la FSSPX ce FAUX objectif prioritaire de la «ré-conciliation» avec la Rome conciliaire (en fait la «ré-conciliarisation» de la FSSPX) ?

Qui a, depuis 2000, PROMU, et Pourquoi, le FAUX préalable de l’autorisation de la messe de Saint Pie V ?

Pourquoi n’a-t-on pas posé la VRAIE question du rétablissement du VRAI Sacerdoce de VRAIS prêtres, ordonnés par des Evêques VALIDEMENT sacrés selon le rite VALIDE des Saints Ordres ?

Qui a INVENTE, et POURQUOI, le faux préalable de la levée des «excommunications» ?

Pourquoi n’a-t-on pas posé la VRAIE question de l’abrogation de Pontificalis Romani INVALIDE de 1968 et du rétablissement du vrai rite de la consécration épiscopale VALIDE d’avant 1968?

A quoi servirait-il, en effet, de faire dire le VRAI rite de la messe par de FAUX prêtres ?

Serait-ce donc qu’après avoir obligé de VRAIS prêtres à dire une FAUSSE messe, l’on veuille désormais faire dire la messe du VRAI rite par de FAUX prêtres ?

Serait-ce que l’on veuille «concilier» les VRAIS prêtres qui disent encore la VRAIE messe avec un clergé aussi INVALIDE que le FAUX CLERGE ANGLICAN ?

Gaude, Maria Virgo, cunctas hæreses sola interemisti.

(Tractus Missæ Salve Sancta Parens)

Vendredi 26 janvier 2007

Ce message peut être téléchargé au format PDF sur notre site http://www.virgo-maria.org/.

Le plan de matraquage moderniste des fidèles


pour le ralliement de la FSSPX au moderniste Ratzinger

La suite des révélations sur le réseau des infiltrés.

Nos informations ne cessent de s’accumuler depuis plusieurs semaines, se recoupent et convergent en démontrant que le réseau des infiltrés[1] modernistes a lancé un plan de matraquage médiatique des fidèles et des clercs afin de leur faire accepter le ralliement au forceps. Mgr Fellay et l’abbé de Cacqueray sont les otages de cette opération qui instrumentalise les autorités légitimes. Nous allons faire des révélations dans les prochains jours sur toute cette opération des infiltrés en expliquant :

·         Quel est le rôle de l’abbé Celier ?

·         Comment et où tout se décide ?

·         Mgr Williamson, encore un infiltré (de substitution) ?

·         Ce qu’on nous cache

Au mois d’août 2006, nous avons déjà découvert la supercherie du « bouquet » spirituel destinée à faire prier les fidèles et les clercs pour cette intention grotesque et sacrilège : que la Très Sainte Vierge accorde à Ratzinger la « force » de « libérer » le rite de Saint Pie V. Une telle énormité ne pouvait que provenir des arcanes diaboliques de l’actuel Vatican, seules capables de concocter une telle manipulation de la bonne foi des catholiques. Puis, la supercherie ayant été dénoncée largement parmi les fidèles, le mensonge dévoilé publiquement, l’affaire a traîné. Elle devait être conclue en fin octobre, la lettre pour « offrir » le « bouquet » vient seulement de partir en ce début d’année, le réseau des infiltrés modernistes ayant encore réussi à imposer à Mgr Fellay de prolonger cette triste affaire.

La publication du Motu Proprio est proche, avant la fin janvier, a prévenu l’abbé Sélégny, l’un des pions essentiels du réseau du ralliement.

Et désormais, une double opération se déroule autour de l’abbé Celier.

L’opération de conditionnement des fidèles pour accueillir le Motu Proprio.

Il est bon de se rappeler ce que disait Saint Pie X au sujet des modernistes et du culte :

« Du culte il y aurait peu à dire, si ce n'était que sous ce mot sont compris les Sacrements; et sur les Sacrements les modernistes greffent de fort graves erreurs. Le culte naît d'une double nécessité, d'un double besoin: car, on l'a remarqué, la nécessité, le besoin, telle est, dans leur système, la grande et universelle explication.

Le premier besoin, ici, est de donner à la religion un corps sensible; le second, de la propager, à quoi il ne faudrait pas songer sans formes sensibles ni sans les actes sanctifiants que l'on appelle sacrements. Les sacrements, pour les modernistes, sont de purs signes ou symboles, bien que doués d'efficacité. Ils les comparent à de certaines paroles, dont on dit vulgairement qu'elles ont fait fortune parce qu'elles ont la vertu de faire rayonner des idées fortes et pénétrantes, qui impressionnent et remuent. Comme ces paroles sont à ces idées, de même les sacrements au sentiment religieux. Rien de plus. Autant dire, en vérité, et plus clairement, que les sacrements n'ont été institués que pour nourrir la foi: proposition condamnée par le Concile de Trente: Si quelqu'un dit que les sacrements n'ont été institués que pour nourrir la foi, qu'il soit anathème (12). » Saint Pie X, Pascendi, 8 septembre 1907[2]

Dans l’esprit du modernisme, le culte n’est pas rejeté, mais sa nature profonde est masquée. Dans la situation présente du milieu des ralliés et de ceux qui s’en rapprochent au sein de la FSSPX, le NOM de Paul VI est présenté comme « nourrissant moins la Foi », il peut même la faire perdre, alors que le rite de Saint Pie V nourrit la Foi, suscite des vocations. Rien pour savoir si ce rite est agréable à Dieu, rien sur la question grave de la validité de la messe.

S’agit-il uniquement du rite de la messe ? Et la pratique des réordinations au sein de la FSSPX ? Et le discours de la « validité au cas par cas » ? Jamais il n’est question de vrai ou de fausses messes, de vrai ou de faux Sacerdoce, qu’importe que l’évêque qui a ordonné le « prêtre » qui célèbre soit invalide, qu’importe que le « prêtre » qui célèbre soit invalide, qu’importe que le nouveau rite de Montini-Paul VI pour la cène maçonnico-gnostico-protestante soit invalide, l’essentiel est que le rite de Saint Pie V soit à nouveau accessible, tel un produit de luxe que les esthètes et les âmes sensibles aux aspirations nobles sauront repérer, choisir avec goût et privilégier.

De la validité du Sacerdoce, de la validité des sacrements nulle mention. Surtout, ne parlons pas des choses qui dérangent, nous sommes entre gens de bonne compagnie, convenables et bien élevés. Pas de grossièreté dans les salons.

L’abbé Celier, porte-parole de Mgr Fellay. L’opération moderniste de désarmement des esprits.

Alors que Mgr Fellay n’a toujours publié aucune déclaration officielle sur l’apostasie de Ratzinger à la mosquée bleue d’Istanbul, il existe quand même de sa part une critique, émise lors de la clôture[3] du Congrès Si si No no à Paris le 7 janvier, où l’évêque use de cet exemple pour montrer que cet acte illustre l’application du plan maçonnique par Ratzinger.

Mais le réseau des infiltrés a censuré Mgr Fellay et lui a « coupé la sono ». En lieu et place de l’enregistrement de la conférence de Mgr Fellay pris en otage, le réseau des abbés de Suresnes (abbés Celier et Cocault-Duverger) qui a fait main basse sur les médias de la FSSPX, a publié un compte-rendu édulcoré.

Après la censure de Mgr Fellay, voici que l’abbé Celier a mis en vente sur Paris une plaquette de 12 pages (D’Assise à Istanbul) consacrées à l’apostasie de la mosquée bleue. Le commentaire de l’abbé Celier vise à rendre acceptable le comportement de Ratzinger auprès des clercs et des fidèles, et à atténuer au sein de la FSSPX l’onde de choc du scandale causé par cette apostasie.

Ratzinger fut qualifié de « moderniste » par Mgr Lefebvre. L’abbé Celier, en multipliant les hypothèses « fictives » favorables, tente de plonger son lecteur dans un bain d’indulgence envers l’usurpateur, et, sur la base de cette échafaudage de suppositions toutes fausses, comme il prend un malin plaisir à le reconnaître, l’abbé Celier en vient à déclarer « mauvaise » la « visite » de la mosquée bleue pour des raisons morales, du fait des conséquences. Ce n’est donc plus l’insulte à Notre Seigneur Jésus-Christ, l’acte d’apostasie que l’abbé Celier met en avant pour condamner ce scandale, mais un raisonnement faux qui se limite au périmètre moral, à un périmètre bien rationnel, bien limité à la sphère humaine. Cette plaquette de l’abbé Celier essaie de minimiser les actes scandaleux d’un moderniste, l’abbé Joseph Ratzinger, que l’abbé Celier a l’impudence de présenter comme le Pape légitime, l’abbé Celier favorise donc le modernisme, comme le fait la méthode rouée et subtile qu’il déploie.

Voici ce que disait Saint Pie X, le Pape qui condamna le modernisme. Ses propos s’appliquent à l’usurpateur Ratzinger, celui-là même que l’abbé Celier a l’outrecuidance de nous présenter comme le successeur légitime de Saint Pie X :

« 16. Combien tout cela est contraire à la foi catholique, nous l'avons déjà vu dans un décret du Concile du Vatican ; comment la voie s'en trouve ouverte à l'athéisme, de même que par les autres erreurs déjà exposées, Nous le dirons plus loin. Ce que Nous voulons observer ici, c'est que la doctrine de l'expérience, jointe à l'autre du symbolisme, consacre comme vraie toute religion, sans en excepter la religion païenne. Est-ce qu'on ne rencontre pas dans toutes les religions, des expériences de ce genre? Beaucoup le disent. Or, de quel droit les modernistes dénieraient-ils la vérité aux expériences religieuses qui se font, par exemple, dans la religion mahométane? Et en vertu de quel principe attribueraient-ils aux seuls catholiques le monopole des expériences vraies? Ils s'en gardent bien : les uns d'une façon voilée, les autres ouvertement, ils tiennent pour vraies toutes les religions.

C'est aussi bien une nécessité de leur système. Car, posés leurs principes, à quel chef pourraient-ils arguer une religion de fausseté? Ce ne pourrait être évidemment que pour la fausseté du sentiment, ou pour celle de la formule. Mais, d'après eux, le sentiment est toujours et partout le même, substantiellement identique; quant à la formule religieuse, tout ce qu'on lui demande, c'est l'adaptation au croyant - quel que soit par ailleurs son niveau intellectuel - en même temps qu'à sa foi. Tout au plus, dans cette mêlée, des religions, ce qu'ils pourraient revendiquer en faveur de la religion catholique, c'est qu'elle est plus vraie, parce qu'elle est plus vivante; c'est encore qu'elle est plus digne du nom de chrétienne, parce qu'elle répond mieux que toute autre aux origines du christianisme.

De telles conclusions ne sauraient surprendre : elles découlent des prémisses.

Ce qui est fort étrange, c'est que des catholiques, c'est que des prêtres, dont Nous aimons à penser que de telles monstruosités leur font horreur, se comportent néanmoins, dans la pratique, comme s'ils les approuvaient pleinement: c'est que des catholiques, des prêtres, décernent de telles louanges, rendent de tels hommages aux coryphées de l'erreur, qu'ils prêtent à penser que ce qu'ils veulent honorer par là, c'est moins les hommes eux-mêmes, non indignes peut-être de toute considération, que les erreurs par eux ouvertement professées et dont ils se sont faits les champions. », Saint Pie X, Pascendi, 8 septembre 1907[4]

En tournant le dos à une condamnation ferme et nette du scandale de la mosquée bleue, a l’opposé de Mgr Lefebvre condamnant vigoureusement Assise, l’abbé Celier va à l’encontre de Pascendi et de Saint Pie X, il va à l’encontre de ce qui constitue l’essence de la vocation de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X. La où le saint Pape traquait les subtilités du modernisme pour en éliminer jusqu’au soupçon, l’abbé Celier travaille à rebours et tente de pousser au plus loin, à coup d’hypothèses fictives et de raisonnement limitatifs au domaine humain, l’ampleur du scandale.

« La présente analyse veut plutôt éclaircir un point qui souvent n'est pas bien compris, celui des conséquences objectives d'un acte. Pour ce faire, nous allons supposer, à titre de pure hypothèse de travail, que l'acte posé par Benoît XVI serait bon (ce qui n'est pas vrai : nous venons de noter qu'en réalité la visite de la mosquée a été un acte en soi mauvais) ; nous allons supposer, toujours à titre d'hypothèse, que le commentaire qui en a été fait serait théologiquement exact (ce qui n'est pas vrai non plus, nous l'avons dit). Et, sur la base de cette double hypothèse fictive, nous allons examiner si l'acte posé à Istanbul est moralement admissible, compte tenu de ses conséquences inéluctables. » Abbé Celier, 21 janvier 2007, D’Assise à Istanbul

L’abbé Celier va même jusqu'à minimiser la « visite » de Ratzinger à la mosquée au nom du « développement du tourisme de masse » (sic) qui banaliserait les visites de mosquée et ainsi, exit saint Thomas.

« Dans les siècles qui ne connaissaient pas le tourisme de masse, entrer dans une mosquée avait en soi une signification religieuse. Mais aujourd'hui, à l'heure de ce tourisme de masse, entrer dans une mosquée, pour un non-musulman, a ordinairement un sens de visite, de découverte, tout à fait étranger à une adhésion à l'islam » Abbé Celier, 21 janvier 2007, D’Assise à Istanbul

Si cela ne relève pas d’une tournure d’esprit moderniste, qu’est-ce donc ?

Cette plaquette de l’abbé Celier a également un autre objectif, il s’agit de culpabiliser les prêtres de la FSSPX dans leurs prêches de condamnation de l’apostasie d’Istanbul. Cette plaquette minimaliste, complaisante, de l’abbé Celier, étant distribuée avec l’autorité du Supérieur du District de France, ils sont ainsi freinés dans leur zèle catholique et n’osent plus s’exprimer haut et fort, craignant de se faire dénoncer comme excessifs.

Le même abbé Celier prétend s’être donné comme mission de « convertir » les conciliaires à la FSSPX. Au nom de ce principe faussement apostolique, il s’agit désormais de gommer toutes les aspérités et d’écarter les sujets qui fâchent. Sa démarche est moderniste. L’abbé Celier nous ressert là, l’argument éculé de l’œcuménisme et aussi de tout l’aggiornamento conciliaire, qui a déjà permis de détruire efficacement l’Eglise au nom d’un « esprit apostolique ». Les mouvements de l’Action catholique post-conciliaire ont été imbibés de ce discours qui est devenu leur leitmotiv. Plus ils ont déployé ce discours, plus les églises se sont vidées. Il est significatif de le retrouver en 2007 chez l’abbé Celier, comme si l’abbé Celier venait opérer un mai-68 feutré au sein de l’œuvre fondée par Mgr Lefebvre. En fait d’esprit apostolique, il est totalement absent. Le véritablement souci apostolique dans la période tragique que nous vivons devrait consister à poser publiquement la question de la validité des nouveaux faux sacrements issus de la réforme de 1968-69 et en particulier de la validité du nouveau rite de consécration épiscopale. Mais de tout cela l’ « apôtre » Celier ne dit rien.

Ce même abbé Celier a ouvert une rubique « disputatio » sur le site de La Porte Latine. Il s’agit pour lui, considérant déjà l’accord des deux préalables comme acquis, de préparer le terrain à un futur accord doctrinal qui servira de prétexte au ralliement. Le 25 janvier 2007, la rubrique Disputatio a publié un article[5] épouvantable du Monde des religions, précédé d’une critique complaisante qui ne le reprend que sur sa conclusion, et comme pièce brute contributive au « débat ». La encore nous voyons la méthode moderniste à l’œuvre, sous couvert d’objectivité des pour et des contre, les pires erreurs sont répandues parmi les fidèles sous couvert de l’autorité. Mgr Lefebvre eût-il accepté que les médias de son œuvre se fassent les vecteurs des pires discours qui mettent en danger la Foi des fidèles ?

Le Chapitre général de juillet 2006 a pris la décision d’écarter l’abbé Celier, suite à de fortes protestations des prieurs, en demandant que lui soient retirées la Direction de Fideliter et des Editions Clovis. Néanmoins, à peine la décision connue, l’abbé Celier a su manœuvrer (abbé Nelly ?) afin d’obtenir une prolongation inouïe de son mandat de 12 mois. 12 mois pour transmettre des dossiers ! Pour justifier 12 mois, on imagine des hangars entiers de dossiers dont l’abbé Celier devrait expliquer le contenu à l’abbé Toulza ! Quand on constate que dans les administrations ou les grandes entreprises, les biseaux en cas de changement de poste n’excèdent pas trois mois, et cela concerne des niveaux de responsabilité bien plus élevés que celui de Directeur des Editions Clovis ou Fideliter.

L’abbé Toulza, ancien polytechnicien, a été nommé comme l’adjoint de l’abbé Celier, afin de reprendre les médias en main. Mais en janvier, à 7 mois de la date fatidique où la revue Fideliter et les Editions Clovis pourraient échapper aux mains du réseau des infiltrés modernistes, nous apprenons que l’abbé Laurençon, ancien supérieur de District de France, prendrait la direction de Fideliter et des Editions Clovis en août 2008. Si tel devait être le cas, faudrait-il y voir une manœuvre en sous-main de l’abbé Celier auprès de son confrère, l’abbé Nelly, grand lecteur du pamphlet scandaleux de l’abbé Celier-Sernine, La Paille et le sycomore ? Une telle nouvelle viendrait réaliser par un coup de force du réseau des infiltrés l’éviction de l’abbé Toulza afin de placer un homme jugé plus malléable et facilement influençable par l’abbé Celier qui resterait dans la coulisse pour écrire des plaquettes afin de « convertir » les conciliaires. Il faut rappeler que lorsque l’abbé de Cacqueray avait pris ses fonctions, l’abbé Laurençon venait d’approuver le manuscrit de La Paille et le Sycomore, le brulôt anti-Jean Vaquié, ce qui le plaça devant un fait accompli de la part de l’abbé Celier.

Les deux otages et le réseau des infiltrés

Ainsi, entre conditionnement des fidèles par rapport à la « libéralisation » du rite traditionnel qui va commencer et neutralisation des critiques doctrinales dont l’affaire de la mosquée bleue, l’abbé Celier et les partisans du ralliement avancent imperturbablement et pave le chemin du ralliement. Après avoir « coupé la sono » à Mgr Fellay, ils ont pris le micro.

Où mènent toutes ces actions ? Au développement d’une atmosphère moderniste que le Saint Pape protecteur de la FSSPX a ainsi stigmatisée :

« A la faveur de l'audace et de la prépotence des uns, de la légèreté et de l'imprudence des autres, il s'est formé comme une atmosphère pestilentielle qui gagne tout, pénètre tout et propage la contagion. » Saint Pie X, Pascendi, 8 septembre 1907[6]


Où est la Direction ? Que disent Mgr Fellay et l’abbé de Cacqueray ? Censuré pour l’un, hypnotisé pour l’autre, ils apparaissent comme les otages de cette action du réseau des infiltrés modernistes du ralliement.

Continuons le bon combat

Abbé Michel Marchiset

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[1] http://www.virgo-maria.org/D-Trombinoscope/index_trombinoscope_ralliement.htm

[2] http://www.vatican.va/holy_father/pius_x/encyclicals/documents/hf_p-x_enc_19070908_pascendi-dominici-gregis_fr.html

[3] http://www.virgo-maria.org/articles/2007/VM-2007-01-17-A-00-Mgr_Fellay_censure_par_infiltres_4.pdf

[4] http://www.vatican.va/holy_father/pius_x/encyclicals/documents/hf_p-x_enc_19070908_pascendi-dominici-gregis_fr.html

[5] http://www.laportelatine.org/formation/disputatio/liberalisme-le-Monde/mondedesreligions.php

[6] http://www.vatican.va/holy_father/pius_x/encyclicals/documents/hf_p-x_enc_19070908_pascendi-dominici-gregis_fr.html